Crète
Envie de soleil, de repos et de bonne cuisine pour une escapade de dernière minute en plein mois d’août… le choix a été difficile mais s’est finalement porté sur la Crète, une destination ayant manifestement le vent en poupe et dont les très épars souvenirs qui me restaient d’un voyage il y a près de 25 ans me confortaient dans l’idée que nous y trouverions notre bonheur! Et de fait, nous n’avons pas été déçus!
Arrivée a Héraklion après un vol (charter estival, pas trop cher €300+) de trois heures, chargés de nos seuls bagages de cabine, on se sent libres! Un bus toutes les dix minutes (€1,20) pour le centre-ville, facile! On se sent déjà en vacances, il fait très doux en cette fin de journée, les terrasses sont bondées, les sourires sur tous les visages…
Booking nous a trouvé un petit hôtel central (Kronos Hotel - €70 pdj compris), propre, confortable et sans surprise, parfait. Impatients de goûter la cuisine du cru, on se panache un petit mezze sur le port chez Ligo Krasi, touristique mais produits de qualité et atmosphère de vacances, on est bien!
Mention spéciale pour le dakos, un petit pain d’orge sec couvert de tomates succulentes, de feta émiettée, d’origan séché et de cette délicieuse huile d’olive Crétoise qui accompagnera nos repas du matin au soir! Un plat facile à réaliser de surcroit, dont acte quelques jours plus tard, ma recette est déjà ICI! Premier raki aussi, cet alcool distillé de raisin (40° quand même) systématiquement offert après un bon repas.
Héraklion est une petite capitale au centre bien animé, très orientée vers le tourisme, on déambule avec plaisir entre petits restos et magasins de souvenirs et d’artisanat. On s’arrête au Parko 240, bar banché du coin pour se mêler à la jeunesse locale et siroter entre autre ce cocktail à base de rhum, jus de fruits, et liqueur de mastiha (le ‘mastic’, résine utilisée en cuisine et dans la fabrication du vin Retsina), excellent début de vacances! On s’amuse du nombre de ‘barbus’: la majorité des (jeunes) hommes portent barbe et moustache courte!
La journée du lendemain sera plus culturelle, avec la visite des ruines de Knossos (€15). A 20 minutes en bus (bus 20, au terminal A ou place Elephteria), sous un soleil de plomb, la visite est un ‘must’, ça c’est fait, mais ne nous emballe pas plus que ça: beaucoup de pierres, peu de fresques ou d’objets, déplacés pour la plupart au musée d’Heraklion qui, parait-il vaut une visite également. Et puis ces commentaires récurrents sur la restauration manifestement très ‘personnelle’ d’Evans au début du siècle dernier… Le café freddo y est de plus hors de prix, une belle arnaque :-)
Sur les conseils avisés de mon amie grecque qui y loue sa maison d’hôte, nous avions réservé quelques nuits à Panormos, petit village typique plus à l’ouest sur la côte nord de l’île.
Bus climatisé (avec wifi!) toutes les heures d’Heraklion (bus terminal A, près du port et du centre touristique - une bonne heure de route).
Le village est petit, calme, et ravissant, descendant en pente douce vers la mer bleue-azur, possède trois-quatre petites plages sympathiques mais plutôt bondées en cette saison, et ses trois rues principales alignent petites boutiques, commerces de bouche et restaurants dont les tables dressées dans la rue donnent le soir une ambiance très estivale. En bord de mer et du port, d’autres tavernas servent sur des terrasses en bois surplombant les flots, le cadre y est splendide.
Pavlina connaît bien le coin et nous expliquera que la majorité de ces établissements sont encore tenus par des familles du village, la mamma aux fourneaux quant les fils s’occupent du service. Porto Parasiris, Taverna Barba Andreas, Kastro, ou encore Taverna Geronymos nous ont en effet régalés durant ces quatre jours de repos et de farniente à Panormo! Même le petit snack à pita était succulent!
Je ne suis pas près d’oublier non plus cette longue table d’amis campée en milieu de rue au soleil couchant chez Geronymos, après un délicieux apéro à la Villa Aposperitis, la grande maison que Pavlina loue au cœur du village. Agneau cuit longuement au four, chaussons au fromage ou aux herbes locales, haricots blancs ‘géants’ mijotés, feuilles de vignes et fleurs de courgettes farcies de riz et de viande, moussaka, porc fumé apaki (une merveille!), purée de fèves, les plats se succèdent sur la table dans la tradition du mezze grec, on se régale!
La maison de Pavlina et Joan est située au cœur du village, entre port et ruelle animée du village. Elle est divisée en deux appartements et restaurée avec beaucoup de goût à l’aide de matériaux et objets locaux. Une belle maison de vacances, idéale pour un séjour en famille ou entre amis à deux pas des plages et au calme de ce joli petit village!
Nous n’y logerons pas cette fois, last-minute oblige. Le Konaki studio et apartments (€50 par nuit, airco en sus) fera par contre notre bonheur pour quatre nuits. Situé au cœur du village, il propose une bonne dizaine de chambres et studios autour d’une petite piscine, dans un jardin fleuri, luxuriant et très bien entretenu. Une adresse familiale, nos hôtes sont adorables et attentifs, et notre petit studio avec kitchenette est juste parfait et fonctionnel pour notre séjour. L’équipement de la cuisine est limité mais m’a permis de cuisiner quelques petits plats simples (vois mes recettes de dakos, salade crétoise, et omelette crétoise), à déguster sur notre petite terrasse avec un verre de rouge local, …parfait!
Pavlina nous ayant indiqué l’unique boucher-fromager, et la boulangerie qui vend outre son pain frais réalisé dans le four jouxtant la rue, les excédents de légumes des jardins alentours, on a pu se régaler des produits simples de la région: huile d’olive, pain frais ou pain d’orge sec, légumes (tomates, concombres, poivrons), fruits (pastèques, figues incroyables, figues de barbarie, …), fromages (feta bien sûr mais aussi la délicieuse myzithra fraiche et légères, un ‘gruyère’ local à base de lait de brebis, et d’autres spécialités fromagères dont j’ai oublié le nom). On n’a pas croisé de vaches sur l’île, la majorité des fromages est réalisée à base de lait de brebis ou de chèvre; dans une grande variété de goûts, de maturité et de consistance. Mon bonheur quotidien au petit déjeuner: feta ou myzithra arrosée de miel local sur un pain toasté ou une figue juste cueillie… rhaaaaaa!
Peu d’activités à Panormos, et c’est très bien comme ça, nos journée s’égrènent entre repos, plage, farniente au bord de la piscine ou sur la grande terrasse de toit du Konaki, ou longs repas au rythme ‘sigua-sigua’ de Crète…
Poulpe et poissons grillés, dolmades (feuilles de vignes farcies), salade grecque et tarama chez Taverna Barba Andreas ou Porto Parasiris, avec pour terminer l’immanquable verre (ou… petite carafe!) de raki bien frais et encore chez Taverna Barba Andreas ce beignet crousti-fondant farci de myzithra fraiche… vacances, quoi!
A une demie-heure de bus de Panormos, Réthymnon est une adorable petite ville en bord de mer. On a adoré déambuler dans les petites ruelles sinueuses du centre, entre petites places, églises orthodoxes - à la décoration souvent chargée et garnie de belles dorures et fresques colorées - ainsi que le long du bord de mer avec ses rochers noirs battu par les vagues couleur azur. A l’est de la ville, on fait de longues balades le long d’une plage de sable, avant de se jeter dans le rouleaux pour se rafraichir.
En ville, Moka propose une belle sélection d’herbes, infusions, fruits confits et autres spécialités, la glace aux figues de barbarie est délicieuse chez Vienna, et on a craqué sur un étal de pitas (des tourtes salées à base de pâte feuilletée aux couches hyper-fines et croustillantes, croquantes pour certaines) garnies de fromage à la menthe, légumes ou herbes sauvages. Délicieux et très rassasiant!!
Après ces quelques jours à Panormos, en route vers l’ouest, pour découvrir Chania (La Cannée) et sa région. On s’y rend en deux petites heures de bus (€10,60 avec KTEL), et Booking nous dégotte une adorable petite chambre (Pia’s Rooms - €60) sur le port, en plein animation touristique, tout confort et heureusement très bien insonorisée. Accueil adorable de Pia, décoration de bon goût, petit balcon sur l’animation du port (très touristique, les pêcheurs se fondent dans la masse!), parfait.
Le marché couvert de Chania est très touristique, dans une très belle halle couverte de verre et ferronnerie, et on y trouve parmi les babioles et souvenirs kitsch de vrais producteurs de fromages, viandes, huiles, olives. Un peu tôt pour faire nos stocks pour le retour, on ira plutôt se restaurer dans une des petites tavernes du marché.
Chez Agapinis Tavern, la maman est en cuisine, les fistons au service, les plats cuisinés exposés en vitrine. Escargots aux tomates, gombos (okras), moussaka, légumes farcis. On se régale d’aubergines cuites au four avec un fromage à pâte mi-dure, et surtout de Boureki, une spécialité locale composée de tranches de pommes de terre, de courgettes, de fromage frais Myzithra aromatisé à la menthe, le tout enserré dans deux feuilles de pâtes, cuit et gratiné au four… une merveille!
Le port vénitien de Chania est adorable, bien que bondé en cette période. On prend plaisir à parcourir le chemin longeant le port jusqu’au phare, le soleil couchant illuminant le village de sa lumière rosée.
Apéro en terrasse, on se croirait chez Senequier (tarifs plus raisonnables): (petits) yachts, calèches à touristes, jolies filles et m‘as-tu-vu, un ouzo bien frais à la main. Et puis une belle découverte que cette craft beer locale: la Septem red est aromatique, douce et bien houblonnée, avec des arômes de miel et d’agrumes, j’adore!
En s’éloignant du port on se perd dans les ruelles, garnies elles aussi de boutiques touristiques avec ça et là quelques vrais artisans. Très touristique donc, y compris l’offre culinaire, mais qu’importe l’atmosphère est estivale, bon enfant, douce et bienveillante, on s’y sent à merveille.
Nous trouverons notre bonheur sur la jolie terrasse en pierres à deux niveaux du Tholos Restaurant: papillotes d’agneau et légumes pour l’un agneau au yaourt (grec!) pour l’autre, après avoir jeté un œil en cuisine pour s’assurer qu’il y avait bien une mamma aux fourneaux, c’était très bon!
Je ne pouvais pas quitter Chania sans goûter à la bougatsa! Chez Bougatsa Iordanis c’est la seule spécialité au menu, et on peut observer dans la cuisine ouverte les pâtissier s’affairer à leur réalisation: une pâte de blé, huile et eau est étalée finement, virevolte entre les poings du pâtissier avant d’être encore étirée sur une grande table en inox pour former un voile translucide. Impressionnant!
La pâte ‘fyllo’ doit être assez fine pour lire son journal au travers, avant d’être beurrée et pliée sur elle-même pour former une pâte feuilletée qui sera garnie de fromage frais. Les chaussons sont ensuite cuits au four chaud, le feuilletage devenant doré et croustillant, garnie de sucre (et de cannelle pour qui veut) et présentée à table pour une petit-déjeuner inoubliable! Savoir-faire, tradition, accueil adorable de la famille aux commandes de cet établissement, et produit d’exception… je suis aux anges!
Pas de plans pour la suite de notre périple, si ce n’est l’envie de découvrir les plages de l’ouest et ses paysages de montagnes. Nous louons une voiture par l’intermédiaire de Economy Car Rental qui nous propose pour €160 une petite Peugeot complètement assurée (et garantie sans ‘petits caractères’) pour trois jours, avec retour à Héraklion; deal!
Bon, l’engin n’affiche que 30,000km mais peine à dépasser les 100km/h, un ‘veau’ en quelque sorte, mais finalement pas bien grave vu que les routes crétoises sont limitées à 90km/h. Peu de monde sur la route, et des conducteurs plutôt prudents et courtois, je suis agréablement surpris (les guides sont parfois trop pessimistes!). Je dois m’habituer néanmoins à utiliser la bande d’urgence comme une bande ‘normale’ sur la plupart des routes limitées à une bande; mais on s’y fait vite!
Premier arrêt sur la plage de Falassarna, au nord-oust de l’île, après une bonne heure de route le long de la côte. Superbe plage! L’eau est limpide, bleu turquoise. Plage de sable (presque) fin, et pas trop bondée. On resterait des heures à patauger dans cette eau transparente aux reflets bleus, entourés de montagnes arides.
Du soleil et du bleu plein les yeux on reprend la route vers le sud, en longeant la côte. La route tortille dans la montagne, les paysages sont superbes en montagne et mer, mais difficile de quitter la route des yeux; par endroits il faut avoir le cœur bien accroché, et éviter de regarder vers le bas!!
Nous ferons étape dans une petite auberge de montagne (Lefteris Rooms - €40 hors pdj). Chambre simple et propre, accueil familial chaleureux, vue imprenable sur les montagnes, et puis un repas gargantuesque (€12) à base de produits locaux: salade crétoise bien entendu, garnie de pourpier sauvage cette fois, une délicieuse addition à mon ‘fix’ de crudités quotidien, agneau mijoté, aubergines au four, des plats simples et rustiques, cuissons longues et ‘slowfood’ en plein, un régal!
Plus au sud, la plage d’Elafonisi est surprenante. A l’entrée d’une presqu’île, c’est une grande étendue plate entre mer en pente très douce, plage de sable, et bassin. La plus célèbre, et la plus photographiée des plages de l’île est très (très!) courue: débordante de baigneurs, de transats et parasols, le paysage de carte postale est néanmoins perceptible et on s’amuse du contraste surprenant entre la beauté du lieu et la foule qui y déambule. Bref, on n’y restera pas longtemps, le temps de se rafraichir dans ses superbes eaux, se promettant de revenir à une saison plus propice!
Nous quittons le sud pour remonter vers Chania, après avoir hésité à continuer vers l’est sur la côte sud. Les routes longeant cette côte sont petites, sinueuses, ou inexistantes, nous obligeant à faire un crochet vers le nord (Chania) pour redescendre vers les différents villages. Ce sera pour une prochaine visite; Pavlina m’ayant assuré que la côte sud à la verticale de Réthymnon vaut absolument la peine d’une nouvelle escapade!
Retour à Chania donc, par une route rapide traversant les terres cette fois, pour profiter encore de son ambiance estivale, siroter un cocktail en regardant le soleil se coucher, et visiter un petit marché de producteurs où on se régalera de fromages, crêpes farcies et autres tourtes croustillantes.
Nous logeons en dehors de la ville et en bord de mer, facilement accessible en voiture (pas trop de soucis de parking), au Ilona Apartments (€50), un logement simple (mais literie exceptionnellement confortable!), balcon, terrasse sur le toit, vue ‘partielle’ sur la mer et kitchenette intelligemment garnie, idéale pour se bricoler nos petits déjeuners invariablement composée de figues (en libre service!), tomates (idem), pastèque, huile d’olive, miel, pain, et les délicieux fromages et confiture de figues que Pavlina nous avait offerts à Panormos et résistant plutôt bien à une chaîne du froid carrément chaotique!!
Nos vacances touchent à leur fin, nous prenons la route pour Héraklion.
C'est bon, je me suis habitué à l'écrasement de pédale nécessaire pour faire lentement décoller notre bolide, et à la gestion des bandes d'autoroute et d'urgence (servant en réalité de bande 'lente')...
En passant prés de Réthymnon nous faisons une visite chez Agreco (€5), une ferme-démonstration gérée par la chaîne d'hôtels El Greco. La ferme d'époque est joliment restaurée, elle sert de cadre à des mariages et démonstrations d'artisanat.
On peut y découvrir un grand potager produisant herbes aromatiques, fruits et légumes du cru, ainsi que différents ateliers d'artisanat: four à pain, distillerie de raki, fouloir à raisins, meule à huile d'olive, moulin à grain, travail du miel, etc...
Intéressant, mais l'ensemble manque un peu d'entretien et cruellement d'explications. En soirée apparemment les ateliers s'animent, et un dîner est servi sur de grandes tables dans la cour de la ferme, ce qui doit les rendre la visite bien plus vivante!
En chemin vers Héraklion, nous ferons encore une pause (gourmande) à Panormos, pour saluer nos amis, profiter une dernière fois de la cuisine de la Taverna Barba Andreas, un peu de farniente sur la petite plage du port (pas terrible) ou sur les terrasses ombragées du bord de mer.
Les distances sont assez courtes sur l’île, il nous faudra encore une heure pour déposer la voiture à l’aéroport d’Héraklion et vingt minutes pour gagner la ville et l’Ibis Style, superbe, confortable, hors budget (€135) mais la seule option valable dans la ville un samedi soir d’août quand on s’y prend à la dernière minute! Booking nous a été très utile et fiable durant ce séjour, mais on ne peut pas non plus lui demander des miracles :-)
L’Ibis est très joliment décoré, dans un style industriel chic, vue sur les toits de la ville, chambre et literie évidemment très confortables, et petit déjeuner plantureux pour goûter avant notre départ (et après une ‘pita-mitraillette’ - comprenez bien garnie de frites - en guise de dernier repas à Héraklion) encore aux délicieux produits et pâtisseries de Crète.
Je comprends mieux maintenant l’engouement pour cette destination de vacances! La Crète offre encore une vraie authenticité, mêlée à une offre touristique efficace et variée. Une fois sorti des centres touristiques les plus courus, on rencontre une authenticité et une simplicité dans les relations comme dans les produits, qui nous ont vraiment conquis. J’ai hâte déjà d’y retourner, d’explorer encore cette île pleine de ressources, l’est et le sud en particulier. A bientôt!
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